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Projets agrivoltaïques

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« Développer les énergies renouvelables est nécessaire, mais le faire n’importe où, n’importe comment, avec une vision politique uniquement quantitative, sans précaution par rapport à la biodiversité qui traverse une crise sans précédent, relève de l’aveuglement. »
(France Nature Environnement)

Les projets agrivoltaïques s'accompagnent souvent d'engrillagements et  d'arrachage de haies entre autre. La densité trop forte de panneaux installés au sol nuit à la subsistance  de la faune et de la flore. Ceci est d'autant plus dommageable que l'utilisation des terres déjà artificialisées suffirait à la production d'énergie d'origine solaire

le décret sur l’agrivoltaïsme est paru au Journal officiel le mardi 9 avril 2024
Les projets d’énergie solaire au sol ne pourront voir le jour que sur des terres non cultivées  depuis au moins dix ans, ou incultes. Dans le cadre du développement des projets d’agrivoltaïsme, le texte établit une limite de 40% de taux de couverture des sols par les installations agrivoltaïques. 
Le décret prévoit en outre que les potentielles baisses de rendement causées par l’agrivoltaïsme ne puissent dépasser 10% de la moyenne du rendement d'une parcelle témoin,  présentant les mêmes caractéristiques que les sols qui seront exploités.

Une étude publiée par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) , confirme que la France dispose d’un potentiel considérable pour installer des panneaux solaires, sur des emplacements peu susceptibles de susciter des contestations puisque déjà artificialisés

Projets agrivoltaïques DANS LE CHER

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